Au cœur de la zone portuaire de Gennevilliers, au Nord de Paris, Cemex a implanté sa plate-forme de valorisation de déblais et de déchets de la construction. Une réponse aux attentes de nombreuses entreprises de BTP.
Chez Cemex, le modèle d’économie circulaire s’appelle Cemex Circle. Mis en place à partir de 2020, il a vocation d’inscrire les activités industrielles de l’entreprise dans une démarche vertueuse locale. « Cemex Circle repose sur trois principes, dont la valorisation des matériaux est le premier pilier, explique Louis Natter, directeur développement durable de Cemex en France. L’éco-conception des produits en est le deuxième. Et l’optimisation de la logistique, le troisième. »
Pour Cemex, la démarche vise aussi à atteindre, d’ici à 2030, un haut niveau de performance environnementale dans quatre domaines, comme la réduction de l’empreinte CO2 de la construction, en développant une offre de bétons bas carbone. Comme la contribution à la préservation de la biodiversité. Comme la préservation de la ressource en eau. Et comme l’économie des ressources minérales naturelles.
Lire aussi : Remettre le béton dans le béton
Partant du constat que le BTP est le premier pourvoyeur de déchets (dont 90 % sont inertes), la mise en place d’une vaste plate-forme, sur le port de Gennevilliers apparaît aujourd’hui comme une évidence. « Il s’agit d’une installation multi-services permettant la réception et la valorisation de déblais de chantiers, détaille Janina Baigus, responsable revalorisation de Cemex Matériaux Ile-de-France. La plate-forme profite d’une situation géographique privilégiée, à proximité immédiate de la Seine, et reliée aux autoroutes urbaines A15 et A86. »
Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous GRATUITEMENT