De Schöck France à Strategic Performance Consulting, Raphaël Kieffer vient de faire le grand saut. Objectif : mettre à disposition 25 années d’expertise dans la direction d’entreprise.
Raphaël Kieffer est à l’origine de Schöck France, filiale du groupe allemand pionnier et inventeur du rupteur de ponts thermiques. Il a monté cette entité et en a piloté la destinée durant plus de 18 années. C’est dans ce contexte de bons résultats qu’il s’est aussi vu confier à partir de 2016, la responsabilité de neuf pays supplémentaires, de la Suisse à la Scandinavie, soit une bonne partie de l’Europe de l’Ouest. Objectif : structurer ces filiales et transposer la stratégie de groupe dans les pays concernés. Un défi relevé haut la main !
Toutefois, c’est une nouvelle actualité qui touche Raphaël Kieffer aujourd’hui. Fini l’aventure Schöck France. Place à “Strategic Performance Consulting” ou “SPC” pour les intimes.
La trame du développement stratégique
« Après un riche parcours professionnel, j’ai voulu lui donner une nouvelle orientation. Ainsi, SPC est le fruit de mes 25 ans d’expérience de direction générale dans des secteurs techniques et très concurrentiels », explique Raphaël Kieffer. Et de poursuivre : « A travers SPC, je souhaite offrir un accompagnement personnalisé et exclusif de projets d’implantation et de développement d’activités sur le marché français ». Ceci, depuis les premiers pas jusqu’au business plan complet, en passant par une restructuration éventuelle.
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Dans le détail, l’offre SPC se décompose en sept modules thématiques. « Mis bout à bout, ceux-ci constituent la trame du développement stratégique intégré d’une entreprise. » Y sont détaillés le marché visé, le positionnement de l’offre, le management normatif, le développement attendu, l’organisation de l’entreprise, la gestion des ressources et compétences, et les méthodes de vente. « SPC doit permettre d’obtenir des réponses pour définir l’objectif stratégique. Mais aussi, faire un état des lieux. Sans compter que les échanges peuvent se faire en français, anglais ou allemand », conclut Raphaël Kieffer.
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