Arnaud Le Brun, journaliste

Et si votre sapin de Noël devenait une pièce unique et durable ? A l’approche des fêtes, 3D-Line propose une décoration originale avec ses sapins en béton imprimé en 3D. Parfaits pour embellir vos espaces intérieurs ou extérieurs, ces objets allient modernité, robustesse et design. Disponibles en trois formes et différentes tailles, ces sapins en béton se démarquent par leurs nombreux avantages. Ils ne perdent pas leurs épines, résistent aux intempéries, y compris aux vents violents, et ne nécessitent aucun entretien. En effet, contrairement à un sapin traditionnel, il n’y a pas besoin de l’arroser, même en cas de fortes chaleurs ! En option, une tige en métal inoxydable démontable peut être ajoutée au sommet, idéale pour y fixer une étoile ou une décoration. Au-delà de leur aspect pratique, ces sapins s’inscrivent dans une démarche éco-responsable. Grâce à l’impression 3D béton, la consommation de matériaux est optimisée, limitant ainsi les déchets de construction. Une innovation qui séduira ceux qui sont soucieux de préserver l’environnement, tout en apportant une touche contemporaine à leur décoration festive !

Frédéric Gluzicki, rédacteur en chef

Intérieur de l’appartement privé d’Auguste Perret. [©ACPresse]

Immeuble du “24 N.C.” [©ACPresse]

Vue extérieure de la Villa Hennebique, à Bourg-la-Reine. [©ACPresse]

Plutôt qu’un objet, une sensation.

Celle d’être un privilégié en un lieu préservé. On y entre en silence, comme en pénitence. On se doit de rester humble, car on touche au sublime. Puis, opère la magie. On remonte dans le temps. Nous sommes au milieu des années 1930, étonnés par l’avant-gardisme omniprésent. C’est clair, coloré. Loin des standards de l’époque.

L’immeuble tout entier est en rupture, novateur, premier exemple d’habitation de verre de l’histoire de l’architecture. Et c’est là, au 8^e étage, que l’architecte Le Corbusier a choisi de s’établir.

Sis dans le XVI^e arrondissement parisien, au pied de l’actuel stade Jean Bouin – autre merveille d’architecture signée Rudy Ricciotti -, ce vaste appartement-atelier en duplex se visite. Il est classé Monument historique depuis 1972. Il mérite le déplacement. Un présent original pour les passionnés et les curieux.

Le Paris des Arts décoratifs

Beaucoup plus confidentiel, l’appartement d’Auguste Perret prend place au 7^e étage d’un remarquable immeuble en béton armé brut, situé à mi-chemin entre Passy et La Muette.

Comme à l’extérieur, le béton est visible à l’intérieur, par touches subtiles semblant émerger des panneaux d’habillages muraux en chêne. L’architecte s’y installe en 1932. Sous des aspects quelque peu classiques, le lieu respire pourtant la modernité de l’époque. Mais c’est l’émotion qui nous saisit, tant la plongée dans le Paris des Arts décoratif est vertigineuse. La Fondation Auguste Perret – Académie des beaux-arts veille sur ce lieu et en entrouvre parfois la porte …

Nous sommes à la Belle Epoque

Direction Bourg-la-Reine, au Sud de la capitale. Le parc de Sceaux n’est qu’à deux pas. L’ambiance est bucolique. La villa familiale Hennebique est là, posée au bord de la voie ferrée. Sa construction date de 1903. Nous sommes à la Belle Epoque et l’Exposition universelle de 1900 est encore dans tous les esprits. Cette demeure, l’architecte et entrepreneur François Hennebique l’a voulue comme une vitrine, une ode au béton armé. Avec sa tour culminant à 40 m, la villa est classée Monument historique depuis 2012. Résidence privée, elle ne se visite pas, sauf peut-être à l’occasion des Journées du Patrimoine. Mais rien n’interdit de l’admirer depuis l’extérieur pour en percevoir toute l’audace.

Ludivine Morales, journaliste

Vous êtes à la recherche d’un cadeau de Noël qui sort de l’ordinaire et vous êtes amateur de bijoux uniques ? Découvrez l’univers audacieux de Sylvie Lupien, une créatrice québécoise qui redéfinit la joaillerie contemporaine. Ses bijoux, mêlant argent ou or à du ciment coloré, sont de véritables œuvres d’art ! Chaque pièce, qu’il s’agisse de bracelets ou de pendentifs sculpturaux, est pensée pour être à la fois esthétique, originale et complètement unique. Personnellement, je trouve que c’est le moyen parfait pour offrir un cadeau personnalisé à ses proches, surtout s’ils sont férus de bijoux. Pour un Noël créatif et audacieux, osez donc le mélange de la couleur et du béton !

Mariola Gluzicki, directrice générale

Une envie de voyager pour ces fêtes de fin d’année ? Ne pas rester sous la grisaille parisienne ? Et si vous partiez pour une petite escapade au Vietnam. La période entre décembre et février correspond à la saison sèche. C’est le meilleur moment pour s’offrir un séjour balnéaire et profiter des plages de sable blanc et des eaux turquoises de Phu Quoc, Mui Ne ou Nha Trang. Ou pour se rendre à Da Lat, la principale station climatique de l’ancienne Indochine française. Sans oublier la visite des incontournables, comme Hanoï, Ho Chi Minh Ville, la baie d’Halong ou encore le Delta du Mékong. Mais au centre du Vietnam, à 20 km de Danang, il est une petite merveille à découvrir : le “pont doré” ou “pont d’or” – Cau Vang en vietnamien -. Ce pont à la balustrade scintillante de 150 m de long est comme suspendu par deux mains géantes… en béton. Le tout juché à 1 400 m d’altitude au-dessus des forêts du centre du pays. Conçu pour donner aux visiteurs l’impression de se promener sur un fil d’or, l’ouvrage s’élève au-dessus des nuages à travers les mains du dieu de la montagne. Et offre des vues spectaculaires. C’est une destination très prisée des Vietnamiens. Alors ça vous tente ?

Muriel Carbonnet-Villenave, secrétaire de rédaction

Il manque toujours un petit quelque chose à votre intérieur. Mais quoi ? Je vous propose donc pour Noël une chaise résolument contemporaine et véritablement confort, qui complètera vos pièces à vivre. Et qui plus est en béton. Pour cette wishlist, mon choix se porte sur la collection Hauteville de Lyon Béton. Des chaises aux courbes sensuelles à la matière brute, à la matière grise. Chaque modèle est conçu pour offrir une assise enveloppante, avec un intérieur soigneusement poncé à la main pour un toucher doux. Made in France, cette collection réinvente le design des années 1950. Signées des designers Henri Lavallard-Boget et Julie Legros, les chaises portent en elles une véritable histoire. Celle de ces deux créateurs, qui aiment parcourir les vieux bâtiments désaffectés aux bords du Rhône pendant leur pause déjeuner. Un jour, dans le sanatorium abandonné d’Hauteville, ils trouvent une coque de chaise en résine datant très probablement des années 1950. Au départ, ils cherchent à expérimenter le béton armé de fibre de verre, en utilisant la coque comme matrice. Les premiers prototypes sont malmenés pour vérifier leur résistance mécanique sur le long terme. Quelques mois plus tard, la collection Hauteville est née. Caressez l’extérieur de la coque et vous comprendrez que la brutalité de la première intention créative est restée intacte. Moi, j’adore.

Nadia Zanoun, responsable abonnements

Jouons cartes sur table ! Vous aimez le béton ! Il occupe l’essentiel de votre temps ! Il est au cœur de votre activité en permanence ! Vous devez continuellement suivre son évolution et vous mettre à jour ! Qu’il s’agisse de matériaux, de matériels, des chiffres du marché, de connaissances fondamentales, de mises en œuvre emblématiques, d’histoire, d’art et de design… Tout vous est utile ! Tout vous intéresse ! Tout vous passionne ! Alors ma préconisation sera, en premier lieu, de se faire plaisir avec un abonnement à Béton[s] le Magazine. Et si vous choisissez l’option avec hors-série, vous recevrez le numéro spécial “Panorama du béton en France” entièrement consacré aux marché, acteurs et utilisateurs.

Soyez égoïste ! Osez l’hédonisme ! Offrez-vous Béton[s] le Magazine.

Et puis, soyez encore plus fou ! Faites le bonheur autour de vous. Abonnez vos collaborateurs, vos amis, votre famille. Devenez le père Noël ou plutôt le père Béton… Une place enviable qui n’est pas donnée à tout le monde. Pensez-y !

Yann Butillon, journaliste

Je suis un enfant. Ou plutôt, je suis resté un enfant. Malgré mes 38 ans, j’ai gardé mon âme d’enfant. J’en veux pour preuve qu’à chaque Noël, mon espoir est toujours de voir apparaître quatre petites lettres : L.E.G.O. J’espère revivre l’émotion qui était la mienne lorsqu’à six ans, j’ai découvert une pelleteuse sur camion entièrement automatisée. Quelque 2500 pièces de bonheur ! La magie opère toujours, puisqu’alors que j’écris ces lignes, je lutte toujours avec moi-même pour ne pas commander cinq modèles, après un rapide tour sur le site web de la marque pour trouver de l’inspiration pour ce billet. Mais alors quel rapport avec Béton[s] Le Magazine ? L’art de construire. Cela aurait pu être les nombreuses toupies et pelleteuses disponibles sur les sites de revente ou les camions à bennes sur le site officiel. Mais non, le lien avec notre magazine, c’est l’art de construire. Pour Noël, offrez-vous une part d’enfance avec la collection Modular Building qui vous permettra de construire votre propre ville. Avec son musée, sa boîte de jazz ou encore le Central Perk de Friends ou l’immeuble de Big Bang Theory. Et éventuellement, je peux vous aider avec mon Volvo FMX et sa pelleteuse électrique. Je la reçois lundi.