Modifié le 12/11/2018 à 10:34
Le CCCA-BTP se félicite des engagements du gouvernement pour son projet de réforme de l’apprentissage.
« Nous accueillons avec beaucoup de satisfaction les premières mesures annoncées par le gouvernement, qui sont dans la droite ligne de nos ambitions », confirme Jean-Christophe Repon. [©CCCA-BTP]
Au début du mois de février, le gouvernement a annoncé une vingtaine de mesures de son projet de réforme de l’apprentissage. Le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (
CCCA-BTP) salue les différents engagements envisagés, qui vont dans le même sens que son plan stratégique, Transform’BTP.
« Pour propulser dans l’avenir notre réseau d’apprentissage BTP, nous avons anticipé et impulsé en 2017 une nouvelle dynamique ambitieuse d’innovation, valeur d’exemple pour les autres secteurs, explique
Jean-Christophe Repon, président du CCCA-BTP.
Nous l’avons traduite au travers de notre nouveau plan stratégique Transform’BTP, défini pour déployer une offre de formation professionnelle tout au long de la vie et un bouquet de services, en totale adéquation avec les besoins des entreprises et des apprentis, tout en prenant en compte les singularités de chaque territoire. » A l’image de l’intégration de l’entreprise dans le dispositif de l’apprentissage, une garantie faite aux entreprises concernant le financement des contrats d’apprentissage signés. Les mesures et le plan du CCCA-BTP prennent aussi en compte l’équilibre entre le rôle des branches professionnelles et les conseils régionaux. Ou encore le développement de l’offre de titres professionnels et de certifications, l’accroissement du nombre de jeunes pouvant bénéficier du programme Erasmus. L’innovation ainsi que la performance pédagogique sont aussi des sujets primordiaux dans cette réforme et pour les centres de formation.
« Nous sommes pleinement au rendez-vous de la réforme, tant nous l’avons préparée, en investissant tous les champs des possibles et en imaginant de nouvelles opportunités de développement », conclut Jean-Christophe Repon.