Le dallage industriel ne participe ni à la structure, ni à la stabilité du bâtiment dans lequel il est réalisé. Pourtant, il s’agit d’un élément d’ouvrage essentiel car de lui dépend l’activité qui se fera dans l’entreprise qui occupera le dit bâtiment…
Retrouvez cet article dans le n° 68 de Béton[s] le Magazine
La difficulté technique des sols industriels tient à plusieurs particularités uniques dans l’univers de la maçonnerie. Déjà, rappelons une vérité bonne : si le dallage ne fait pas partie de la structure, ni ne participe à la stabilité du bâtiment, son importance est doublement cruciale.
Sur le plan fonctionnel, le dallage industriel est l’interface entre le bâtiment et son process de production – équipements, racks de stockage, transstockeurs, chariots, camions… – et doit répondre de manière précise aux attentes de l’utilisateur, en termes de résistances mécaniques et chimiques selon les zones.
Ensuite, sa planéité parfaite est essentielle dans la performance de l’outil de production. Un sol dégradé ou épaufré au niveau des joints impacte la productivité et accélère l’usure des engins de manutention. Enfin, son aspect esthétique ne doit pas être négligé : le sol est le premier ouvrage regardé quand on rentre dans un bâtiment, la demande de finition teintées s’affirme et sa qualité joue sur l’image de professionnalisme de l’occupant et dans la valeur du bâtiment à la revente ou à la relocation.
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