Daniel Audemard nous dévoile, en exclusivité, les arcanes du groupe éponyme, qu’il co-préside. Sa dernière actualité : l’acquisition de Teralta.
Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Audemard est un groupe familial, très présent dans les territoires ultra marins. Pourquoi ce choix particulier de développement ?
Daniel Audemard : C’est un peu notre héritage, notre histoire. L’entreprise Audemard a été fondée par mon arrière-grand-père en 1885, en Auvergne, avec pour spécialités la fabrication de clochers d’église et le percement de petits tunnels. Cet arrière-grand-père, avec son ADN de pionnier, qu’il nous a transmis, s’expatriera très vite au Maroc. Puis, par la suite, nous avons participé aux grands travaux du Sahara. L’indépendance de l’Algérie en 1962 nous a obligés à un retour en France, du côté de Nice. Mais très vite, nous sommes repartis à l’international, vers la Libye, l’Afrique, le Sud-Est asiatique. Le développement ultra marin a débuté, en 1970, avec une première implantation en Nouvelle-Calédonie…
Pourriez-vous faire une présentation du groupe ?
Audemard peut être considéré comme une entreprise de taille intermédiaire, mais agissant au niveau mondial !
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