François Chardon, directeur marketing et développement de Xella, expose la stratégie de reconquête de la marque en France.
Retrouvez cet article dans Béton[s] le Magazine n° 81
« Chez Xella, tout a changé du sol au plafond, avec la mise en place d’une véritable stratégie de reconquête, dévoile François Chardon, directeur marketing et développement de la marque.L’accent est mis sur la prescription et la réorganisation d’une offre multi-marques très dense. Tout est fait pour que la branche française de Xella reprenne des couleurs, tant dans le secteur du neuf que de la rénovation». Il est vrai que si l’Allemand Xella réalise un chiffre d’affaires de 1,4 Md€, il n’occupe qu’une place très modeste sur le marché français. Le béton cellulaire, dont il est pourtant le fournisseur quasi-exclusif depuis le rachat de Cellumat en 2017, ne dépasse pas les 5 % de part de marché. « Si Xella France a bien résisté à la crise de 2008, la période 2011-2015 a été beaucoup plus difficile. Notre chiffre d’affaires a été divisé par deux, car notre activité dépendait beaucoup trop de la maison individuelle», confie François Chardon.
Un matériau cher ?
Hors approche en coût global, le béton cellulaire est considéré à tort comme un matériau cher. « Il s’agit pourtant d’un produit trois-en-un. Il est isolant, traite les ponts thermiques et offre une bonne étanchéité à l’air. La prise en considération de cette triple performance remet les pendules à l’heure, en termes de coût global. Qui s’avère équivalent, voire inférieur à celui des autres solutions constructives. »
Xella veut aujourd’hui
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