Cemex se mobilise pour une logistique durable avec l’acquisition de 2 toupies 100 % électriques Putzmeister pour desservir le marché des Hauts-de-France.
![Equipés d’une batterie de 350 kWh, les toupies électriques Cemex bénéficient d’une autonomie d’environ 8 h en milieu urbain. [©Cemex]](https://www.acpresse.fr/wp-content/uploads/2025/03/25-Cemex-Logistique-durable-Web.jpg)
Cemex poursuit sa stratégie de décarbonation avec l’acquisition de 2 toupies 100 % électriques. Ces équipements de marque Putzmeister sur porteur Sany seront utilisés pour desservir le marché du BPE des Hauts-de-France. Equipés d’une batterie de 350 kWh, ces camions 8 x 4 offrent une autonomie d’environ 8 h en milieu urbain. Ils se rechargent la nuit via un chargeur de 40 kW. Avec une cuve de 9 m3 et un PTAC de 32 t, ils bénéficient d’une charge utile équivalente à celle des toupies traditionnelles. « Leur acquisition représente une étape significative dans notre feuille de route vers la neutralité carbone, déclare Emanuel Mendes Silva, directeur logistique BPE de Cemex. Nous restons déterminés à mettre en œuvre des solutions innovantes. Et cela, dans l’optique de réduire notre empreinte environnementale, tout en offrant des services de qualité à nos clients. »
Vers une logistique plus vertueuse
Cette initiative s’inscrit dans l’engagement de Cemex pour une logistique plus vertueuse. En parallèle, l’industriel a renouvelé son adhésion au dispositif Fret21 pour 2024-2026. Un procédé qui vise à réduire l’empreinte carbone liée au transport de granulats, de liants et de bétons. Lors de son 1er cycle d’engagement (2021-2023), Cemex avait enregistré une réduction de près de 10 % de ses émissions en 2024 en comparaison à 2021.
Ces actions font partie du programme “Futur in Action” qui vise à devenir une entreprise net zéro C02 d’ici 2050. Au niveau international, le groupe Cemex a initié l’électrification de sa flotte de camions dans plusieurs pays. En particulier en Allemagne, en Espagne, au Mexique, en Pologne et en République tchèque. Par ailleurs, l’industriel a investi dans plus de 1 000 poids lourds qui fonctionnent au biocarburant et au gaz naturel.
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