Construction Kintzelmann adopte Jackodur Atlas

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Arnaud Le Brun
26/03/2025

Pour bâtir des maisons passives, Construction Kintzelmann mise sur Jackodur Atlas de Jackon Insulation by Bewi qui combine isolation thermique et coffrage.

Article paru dans Béton[s] le Magazine n°117.

Construction Kintzelmann a réalisé plus de 70 chantiers avec les produits Jackodur Atlas de Jackon Insulation by Bewi. [©Hervé Kintzelmann]
Construction Kintzelmann a réalisé plus de 70 chantiers avec les produits Jackodur Atlas de Jackon Insulation by Bewi. [©Hervé Kintzelmann]

Bas-Rhin. Implantée à Dettwiller, en Alsace, depuis plus de 50 ans, Construction Kintzelmann s’est intéressée, dès 2008, à l’édification de maisons passives. Une activité qui assure une isolation performante, source d’économies d’énergie et de confort. Et pour y parvenir, l’entreprise utilise les procédés de Jackon Insulation by Bewi comme les produits Jackodur Atlas. A ce jour, plus de 70 chantiers ont été réalisés avec ces solutions. « Notre démarche est de mettre en œuvre les panneaux Atlas et un radier béton, précise Hervé Kintzelmann, dirigeant de l’entreprise éponyme. Fabriqué sur mesure en usine, Jackodur Atlas combine isolation thermique et coffrage perdu. De plus, aucun pont thermique n’est à redouter. »

Réduction optimale des déperditions thermiques 

La disposition de l’isolant sous le radier par dépassement en périphérie permet la liaison avec les murs. L’ensemble est ainsi isolé par l’extérieur. Toute la structure mécanique béton et maçonnerie se trouve à l’intérieur d’une enveloppe thermique. Et dans le cadre d’une maison passive, le radier thermique Atlas garantit une accumulation et un stockage de la chaleur ou de la fraîcheur dans la masse. « C’est l’assurance d’une réduction maximale des déperditions thermiques. Ce procédé offre de nombreux avantages. La combinaison de l’isolation thermique et du système de coffrages permet une réalisation en une seule étape. Quant à la stabilité de la structure, elle est assurée même sur des terrains difficiles. En effet, le poids du bâti est réparti sur l’ensemble du radier », conclut Hervé Kintzelmann. 

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Article paru dans Béton[s] le Magazine n°117.

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