Modifié le 13/08/2020 à 14:44
L’année 2018 célèbre les 30 ans d’ATec en ITE et les 20 ans en ITI des rupteurs de ponts thermiques Schöck Rutherma.
Schöck fête les 30 ans d’ATec en ITE et les 20 ans en ITI des rupteurs de ponts thermiques Rutherma. [©Schöck]
L’année 2018 célèbre les 30 ans d’ATec en ITE et les 20 ans en ITI des rupteurs Schöck Rutherma. En effet, inventeur des rupteurs de ponts thermiques, Schöck a obtenu un premier Avis technique du CSTB, dès 1988. Ceci, pour son rupteur Schöck Rutherma (appellation d’origine Isokorb), en isolation thermique par l’extérieur. Schöck dispose d’un Avis technique en isolation thermique par l’extérieur (ITE) et en zone sismique. Cet ATec se double, depuis 1998, d’un Avis technique en isolation thermique par l’intérieur (ITI). «
Cette longévité vaut aujourd’hui à Schöck d’asseoir son logo sur une baseline des plus légitimes, emblématique de son ADN : “porteur de fiabilité” », peut-on lire dans un communiqué. Ainsi, Schöck s’est très vite imposé comme acteur majeur dans le traitement des ponts thermiques en Allemagne, avec sa solution en ITE, Schöck Isokorb (sous Avis technique outre-Rhin depuis 1983). L’industriel a aussi pris soin de s’adapter au marché français. Il s’est associé à Kesser, une filiale Bouygues, pour développer un brevet en ITI avec le rupteur Rutherma DF. Ce dernier a d’abord bénéficié d’une Atex, avant d’obtenir, le 26 novembre 1998, un Avis technique du CSTB. Cet ATec en ITI (le tout premier délivré en France) est venu conforter celui reçu dès 1998 en ITE. Sur les 30 filiales Schöck dans le monde, Schöck France reste la seule à proposer cette solution en ITI. Grâce à ces améliorations constantes, «
Schöck entend bien faire des rupteurs de ponts thermiques un standard de construction en France, d’autant plus qu’il propose des solutions adaptées à tous types de jonctions : béton/béton, mais aussi béton/acier, acier/acier et même béton/bois ».