Cette fois-ci, on a décidé de voir grand ou, plutôt, de prendre de la hauteur dans les domaines du coffrage et de l’étaiement. En effet, c’est le coffrage de grande hauteur, en situation, qui est mis sous les feux de la rampe. L’étaiement suit la même logique, en portant haut les coffrages horizontaux. Gare donc à ne pas être sujet au vertige pour pouvoir découvrir avec sérénité ce que les spécialistes du sujet font faire à leur équipements…
Retrouvez cet article dans le n° 78 de Béton[s] le Magazine
Nombre de raisons poussent à l’utilisation de coffrages en superposition. Si un ensemble de deux outils positionnés l’un au-dessus de l’autre est presque considéré comme un cas normal, voir une structure se développant sur 7 m, 8 m ou 10 m rentre dans un domaine plus exceptionnel. L’étaiement sur de grandes hauteurs s’inscrit dans la même logique : à partir du moment où il y a un voile d’une hauteur importante, le plancher en son sommet doit forcément bénéficier d’outils conséquents pour permettre son coulage. Bien entendu, travailler avec de tels équipements impose des méthodologies de travail spécifiques et bien encadrées.
A travers les réalisations présentées dans les pages, qui suivent, chacun pourra découvrir pourquoi coffrages et étaiements doivent parfois “aller plus haut” et comment les opérateurs ont techniquement répondu à cette contrainte.
Dossier préparé par Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki