Modifié le 15/11/2018 à 16:54
Holcim n'a pas reçu les compensations financières du Venezuela suite à la nationalisation de ses installations en 2008.
En 2008, les autorités vénézuéliennes avaient mis sur pied une campagne de nationalisation d’industries jugée essentielle à la survie de l’Etat. Parmi elles, Holcim Venezuela, alors devenue la Corporacion Socialista del Cemento. A l’époque, Holcim avait accepté de se désengager du pays contre une compensation de 97,5 M$, payable au plus tard en octobre 2014. Cependant, la date butoir est dépassée et les virements nécessaires n’ont pas été effectués. Holcim a donc annoncé s’être rapproché des autorités compétentes pour récupérer son dû.