La centrale continue de CBP

Produits
Rédaction
15/12/2015

Branche de l’entreprise belge VW Automatique, l’entité Concrete Batching Plant (CBP) propose un outil singulier assurant la valorisation de matériaux de déconstruction, baptisé C 300.0.

La centrale C 300.0 de CBP est destinée à la production en continu de bétons maigres.

La centrale C 300.0 de CBP est destinée à la production en continu de bétons maigres.

Branche de l’entreprise belge VW Automatique – rien à voir avec le constructeur automobile allemand puisque là, les initiales sont celles des deux fondateurs que sont Jean-Louis Verbaert et Thibaut Walravens -, l’entité Concrete Batching Plant (CBP) assure la construction de centrales à béton classiques diffusées sur son marché local. Mais l’industriel propose aussi un outil singulier qui devrait intéresser nombre d’entreprises assurant la valorisation de matériaux de déconstruction. Baptisé C 300.0, l’unité se caractérise par un fonctionnement en continu qui s’articule autour d’un malaxeur “maison” d’une capacité de 250 à 300 t/h. De quoi remplir une semi-remorque de 30 t en 5 à 8 mn.

La spécialité de la centrale : la production exclusives de bétons maigres présentant une consistance de terre mouillée. « Cet outil n’est pas prévu pour la réalisations de bétons fluides », confirme Jean-Louis Verbaert, administrateur de VW Automatique. Le béton produit est principalement utilisé comme couches de propreté, comme matériau de remplissage ou comme solution de protection en enrobage de canalisations… Et ceci, à l’aide de matériaux de recyclage.

Pour autant, la qualité n’est pas oubliée puisque l’unité assure une pesée en continu et un dosage régulé de chaque constituant, avec une très grande précision (eau et ciment avec une erreur de 2 % au maximum). Le suivi de la production est enregistré dans une base de données. Simple d’emploi, la centrale CBP est 100 % galvanisée et intègre une télémaintenance embarquée, qui nécessite une connexion internet ou GPRS.

Vous avez aimé cet article, et avez envie de le partager ?

Réagir à cet article 


					
 Nous vous recommandons