Après six rencontres entre syndicats de salariés et patrons, les négociations dans le monde du bâtiment restent toujours au point mort. Vendredi 26 avril 2013, l’intersyndicale du BTP (CFE-CGC, CFDT, CFTC, CGTR et FO) a annoncé la préparation d’un mouvement de grève illimité prévu début mai.
Après six rencontres entre syndicats de salariés et patrons, les négociations dans le monde du bâtiment restent toujours au point mort. La Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) et la Fédération réunionnaise du BTP ont fait part d’une nouvelle offre : une revalorisation salariale de 1,25 % à fin juin 2013. Une proposition satisfaisante pour le patronat, mais inacceptable pour les syndicats, qui refuse de signer ni en-dessous, ni au niveau de l’inflation 2012. Les négociations s’enlisent et la colère monte sur les chantiers.
Vendredi 26 avril 2013, l’intersyndicale du BTP (CFE-CGC, CFDT, CFTC, CGTR et FO) a annoncé la préparation d’un mouvement de grève illimité prévu début mai. Pour mémoire, le dernier conflit de ce type dans le BTP avait eu lieu en 2004.