Les chapes fluides multiplient les révolutions

Yann Butillon
10/07/2024
Modifié le 15/07/2024 à 16:22

Pour préparer les sols et noyer les planchers chauffants, les chapes fluides, qu’elles soient à base de ciment ou d’anhydrite, se sont imposées comme les meilleures technologies. En perpétuelles évolutions, elles se sont structurées et tentent désormais de répondre au défi de l’empreinte carbone.

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 113

Avec le CQP chef d’équipe chapiste, la profession vise à homogénéiser ses techniques et à améliorer sa reconnaissance. [©ACPresse]
Avec le CQP chef d’équipe chapiste, la profession vise à homogénéiser ses techniques et à améliorer sa reconnaissance. [©ACPresse]

Dans le milieu de la construction, rares sont les révolutions qui transforment les structures d’un marché. Quelquefois, une technologie de rupture en est le déclencheur. Plus souvent, c’est l’évolution normative qui engendre les changements. Les chapes fluides, qu’elles soient à base de ciment ou d’anhydrite, ont bénéficié d’une radicale mutation qui tient de la deuxième catégorie. Jusque-là activité

Cet article est réservé aux abonnés
des revues Béton[s] le Magazine et Process Industriels.

En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr :

  • Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction…
  • Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses)
  • + vos newsletters pour suivre l’info en continu
Je m'abonne

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 113

Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !