Pour préparer les sols et noyer les planchers chauffants, les chapes fluides, qu’elles soient à base de ciment ou d’anhydrite, se sont imposées comme les meilleures technologies. En perpétuelles évolutions, elles se sont structurées et tentent désormais de répondre au défi de l’empreinte carbone.
Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 113
Dans le milieu de la construction, rares sont les révolutions qui transforment les structures d’un marché. Quelquefois, une technologie de rupture en est le déclencheur. Plus souvent, c’est l’évolution normative qui engendre les changements. Les chapes fluides, qu’elles soient à base de ciment ou d’anhydrite, ont bénéficié d’une radicale mutation qui tient de la deuxième catégorie. Jusque-là activité
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