Naissance de Vicat Sysnergie

Actualités
Muriel Carbonnet
25/01/2024
Modifié le 03/05/2024 à 16:49

Depuis le 1er janvier, les solutions Aircimat, Biosys, Keps, Lithosys et Smart-Up sont regroupées au sein de Vicat Sysnergie, une nouvelle filiale du groupe Vicat.

L’impression 3D Lithosys a rejoint la nouvelle filiale Vicat Sysnergie. [©ACPresse]
L’impression 3D Lithosys a rejoint la nouvelle filiale Vicat Sysnergie. [©ACPresse]

« Depuis le 1er janvier, les solutions Aircimat, Biosys, Keps, Lithosys et Smart-Up sont regroupées au sein de Vicat Sysnergie, une nouvelle filiale du groupe Vicat. L’ensemble des solutions conservent leur identité visuelle », annonce Damien Rogat, nouveau président de Vicat Sysnergie. Cette démarche a été initiée, il y a deux ans, avec la création du département “Innovation appliquée”. Son objectif était de regrouper les systèmes constructifs et les produits innovants du groupe. Afin d’accélérer leur mise sur le marché. « Avec Vicat Sysnergie, ces solutions vont avoir plus de visibilité. Elles font aussi l’objet d’un accompagnement technique spécifique, ainsi que de prestations de services associées », renchérit Damien Rogat.

Lire aussi : Le bas carbone en ligne de mire pour Vicat VPI

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En même temps, cette création fait écho à la stratégie de Vicat, qui a créé un pôle “Services”, regroupant les filiales, en dehors des activités historiques.

« Les objectifs sont surtout de développer des solutions à faible empreinte carbone, d’apporter des réponses clefs en main à nos clients. Et enfin, d’ouvrir un nouveau périmètre d’actions illimité, en ayant accès à des territoires hors zone d’implantation du groupe, en France et à l’international. » 

Bien entendu, la nouvelle filiale présente un logo spécifique, reprenant les codes symboliques du groupe. « C’est un nom évocateur de nos axes de travail. A savoir, la synergie entre nos matériaux, nos systèmes constructifs et les différents acteurs de notre métier. Le préfixe “Sys” indique les systèmes constructifs et le suffixe “Nergie”, la réduction de l’empreinte environnementale », conclut Damien Rogat.

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