Rector s’est emparé du sujet du traitement des ponts thermiques depuis plusieurs années. Producteur de systèmes constructifs, il propose aussi des solutions dédiées.
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Les ponts thermiques, ce sont ces points particuliers de l’isolation qui détériorent la qualité de l’enveloppe. Rector s’est emparé du sujet depuis plusieurs années. Producteur de systèmes constructifs, il propose aussi des solutions dédiées. « Les rupteurs sont comme la bonde qui permet d’éviter que la baignoire ne fuie. Il est important de traiter l’ensemble de la périphérie du bâtiment et de chaque logement, explique Emmanuel Boichon, directeur recherche & développement chez Rector. Mais aujourd’hui, vous pouvez avoir un logement A très bien isolé et B, à côté, bien moins performant. »
En effet, la RT 2012 impose un coefficient de transmission thermique linéique moyen Psi 9 (ψ9). Les liaisons entre les planchers et les murs donnant sur l’extérieur doivent être inférieures ou égales à ψ = 0,60 W/(m².K). Mais le calcul s’établit sur l’ensemble du bâtiment et non sur chaque point sensible. « Ce n’est pas pertinent de fonctionner avec un Psi moyen. D’autant plus qu’il est difficile de revenir sur les ponts thermiques après la construction, pendant la durée de vie du bâtiment. En dehors des déperditions de chaleur, le traitement de ces derniers permet aussi de réaliser des habitats sains et d’éviter le développement de pathologies. »
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