L’utilisation des Bfup en réparation et renforcement des ouvrages commence à émerger en France. Mais ce marché a longtemps été freiné par un manque d’encadrement normatif, de nature à rassurer les utilisateurs et les assureurs. Explications.
Retrouvez cet article dans Béton[s] le Magazine n° 79
Comme le rappelait François Toutlemonde, délégué scientifique et international à l’Ifsttar, à l’occasion d’une présentation organisée par la FNTP en mai 2018. « Les Bfup résultent de la combinaison de trois idées directrices. La première est l’amélioration de la compacité, donc de la résistance des matériaux par la réduction drastique du rapport eau/liant. La deuxième concerne l’utilisation de fibres. Conférant au béton une capacité de reprise des d’efforts de traction post-fissuration et une pseudo-ductilité. Et enfin, la troisième est la réduction des imperfections naturelles liée à la petite taille et à la qualité optimale des granulats. Les Bfup connaissent donc aujourd’hui un important essor sur le marché de la réparation et le renforcement des ouvrages. »
Développés dans les années 1990, les Bfup connaissent depuis 20 ans, des évolutions par le type d’usages. Le design en premier lieu : des réalisations exceptionnelles liées au courage et à la passion
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