Déjà président d’Eqiom, Roberto Huet a accepté la présidence de Stradal. De quoi présager plus de synergies entre ces deux sociétés appartenant au groupe irlandais ? Eléments de réponse...
Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine.
Déjà président d’Eqiom, vous avez accepté de prendre, en même temps, la présidence de Stradal. Pourquoi ce choix ?
Une nouvelle réflexion sur le positionnement de Stradal et sa performance sur le marché ont conduit à nommer un nouveau président à la tête de cette entreprise française. Aussi, ai-je été très honoré que l’on me propose ce poste, que j’ai accepté. L’industrie du béton est un monde différent de ceux du ciment, du granulat et du béton prêt à l’emploi. Pour moi, c’est une façon de rester sur le qui-vive pour mieux comprendre l’aménagement des territoires, même si appréhender ce nouveau secteur d’activité me donne beaucoup de travail.
Stradal a aussi près de 60 ans d’existence en France. Comment pensez-vous écrire la suite de cette histoire ?
Stradal profite d’une belle image historique auprès de ses clients. Et mes prédécesseurs ont accompli
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