Avec ses 55 usines (53 en France et 2 en Belgique), Alkern mise sur la proximité avec ses clients. Mais pas que... L’industriel développe des solutions bas carbone et tournées vers l’éco-construction.
Avec ses 55 usines (53 en France et 2 en Belgique), Alkern mise sur la proximité avec ses clients. Mais pas que… Spécialisé dans la préfabrication de blocs béton, et notamment de blocs béton isolants, l’industriel développe des solutions en adéquation avec les enjeux actuels de la performance thermique, du bas carbone et de l’économie circulaire. « Notre “base line” est : Innover durablement ensemble », déclare Christophe Lagrange, directeur de l’offre d’Alkern. Avec près de 1 000 collaborateurs et 200 M€ de chiffre d’affaires, la société se focalise sur la construction verticale et horizontale (mobiliers urbains, assainissement…).
« Notre chiffre d’affaires se répartit à 40 % sur le bâtiment et particulièrement la maison individuelle, à 30 % sur l’aménagement extérieur et moins de 30 % sur les travaux. » Avec ses blocs béton isolants, l’industriel estime avoir une carte à jouer en réponse à la RE 2020. « La nouvelle réglementation aura deux impacts majeurs pour nous. Elle implique une augmentation de la performance du Bbio et la prise en compte de l’impact carbone dans les calculs. Il y a différents leviers pour atteindre ces objectifs et les blocs béton sont des solutions qui permettent de traiter la performance thermique du bâtiment et qui sont par essence bas carbone. »
Un bloc béton rectifié plus responsable
En effet, la gamme de produits d’Alkern couvre des R allant de 0,3 à 2,11 m2.K/W, sachant que le R = 1 m2.K/W est le plus courant au niveau de la paroi. Puis, ces produits sont composés de 50 à 60 % d’air, un argument non négligeable dans la quête du bas carbone.
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« Les blocs béton demandent peu de matière et la préfabrication permet de l’optimiser. Leur bilan carbone est alors quatre fois moins élevé qu’un mur en béton. Ils ont pratiquement le même bilan que le bois. De façon générale, les blocs maçonnés assemblés sur chantier avec une couche de mortier disposent d’un bilan carbone de 14 kg/CO2/m2. Cet article est réservé aux abonnés
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