L’engagement de Cemex dans l’économie circulaire et la protection de l’environnement n’est pas nouveau. L’industriel y souscrit pleinement et crée aujourd’hui la marque Cemex Circle.
L’engagement de Cemex dans l’économie circulaire et la protection de l’environnement n’est pas une nouveauté. L’industriel y souscrit pleinement depuis des années. Mais aujourd’hui, avec la création de la marque Cemex Circle, il le formalise à tous les niveaux de son organisation. « Pour diminuer le bilan carbone des bâtiments, au moment de leur construction, Cemex a mis sur le marché le béton Vertua », rappelle Michel André, vice-président matériaux Cemex pour l’Europe de l’Ouest. Entre autres, cette solution propose une neutralité carbone, via un principe de compensation, dans la version “ultra zero” du Vertua. Cemex propose aussi une offre de granulats recyclés et de bétons en contenant, permettant d’économiser les ressources minérales. Pour assurer une meilleure performance énergétique des constructions, l’industriel a mis sur le marché des bétons isolants, structurels ou non structurels. Leur nom : Insularis.
Cemex Circle, une démarche de progrès
Quant aux bétons perméables (drainants) et autres sols stabilisés, ils solutionnent une partie de la problématique de la gestion durable de l’eau. Et pour pérenniser l’existant, Cemex vient de lancer l’activité “Entretien et rénovation des sols”. Un service d’intervention proposé aux collectivités locales comme aux particuliers qui souhaitent donner une seconde jeunesse à leur patrimoine béton horizontal.
« Cemex Circle est une démarche de progrès continu visant à atteindre, d’ici 2030, un haut niveau de performance environnementale dans quatre domaines cruciaux », indique Michel André, vice-président matériaux Cemex pour l’Europe de l’Ouest. Pour chacun d’eux, l’industriel se fixe un objectif de résultats ambitieux. Celui-ci repose sur l’amélioration des procédés de production, des activités logistiques et des solutions constructives proposées. Pour ces quatre domaines, Cemex rendra publics des indicateurs de référence et des objectifs chiffrés.
Réduire les émissions de carbone
En premier lieu, vient l’amélioration de l’empreinte carbone des constructions. « Là, nous avons pour objectif de réduire de 35 % les émissions de carbone engendrées. »
L’économie des ressources minérales naturelles constitue le deuxième point. Elle passera par un développement de solutions constructives éco-conçues. Solutions qui intégreront dans leur offre 15 % de matières premières recyclées ou biosourcées.
« Nous allons mettre en œuvre un plan de gestion de la biodiversité́ sur 100 % de nos carrières », reprend Michel André. Ce sera là la contribution à la préservation de la biodiversité́, troisième des quatre domaines cruciaux. Ce plan de gestion vient en complément des mesures environnementales déjà̀ déployées par Cemex sur tous ses sites. La nouveauté est l’inclusion de 100 % de ses unités de production de bétons dans un programme d’actions en faveur de la biodiversité́.
La préservation des ressources en eau clôt la liste. L’optimisation des procédés industriels et une conception inédite des matériaux devraient permettre de réduire de 10 % les consommations d’eau de Cemex.
Construction durable des bâtiments
« Nous sommes déterminés à fournir les meilleures solutions pour la construction durable des bâtiments et l’aménagement de l’espace,détaille Louis Natter, directeur développement durable, RSE et affaires publiques de Cemex. C’est une démarche en ligne avec les attentes de nos clients pour améliorer la résilience des villes et des territoires. A travers notre ambition, nous contribuons aux politiques publiques de développement durable. A l’image des objectifs de développement durable de l’ONU. Mais aussi à l’objectif global de neutralité́ carbone en 2050 et de neutralité́ écologique. »
Ainsi, Cemex Circle constitue une démarche ambitieuse. Celle-ci se place à tous les stades du cycle de vie des produits et services commercialisés. Elle devrait permettre d’augmenter l’efficacité́ de l’utilisation des ressources. Et, enfin, de diminuer l’impact sur l’environnement de la construction, tout en développant le bien-être entre individus.