Ciment : Au Vietnam, la clef c’est la fusion !

Rédaction
11/07/2013
Modifié le 15/11/2018 à 16:54

Tel le Phœnix, les entreprises nationales vietnamiennes de ciment : Thang Long, Dông Banh et Dai Viêt renaissent de leurs cendres. Grâce à des opérations de fusions-acquisitions, elles ont paré les cessations d’activité qui les hantaient depuis plusieurs mois.

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Tel le Phœnix, les entreprises nationales vietnamiennes de ciment : Thang Long, Dông Banh et Dai Viêt renaissent de leurs cendres. Grâce à des opérations de fusions-acquisitions, elles ont paré les cessations d’activité qui les hantaient depuis plusieurs mois. Récemment, le cimentier Thang Long a exporté à son partenaire PT Semen Padang son second lot de 11 000 t de ciment. En décembre dernier, le cimentier avait vendu 70 % de son capital au groupe indonésien Semen Gresik. Un exploit qui souligne la capacité du cimentier vietnamien à pouvoir s’exporter vers le marché indonésien.
Le cimentier Dông Banh tire également profit de sa fusion-acquisition avec le groupe The Vissai en 2012. Leur usine, baptisée “The Vissai Lang Son”, a relancé pleinement les activités du groupe et devrait d’ici la fin de cette année produire 675 000 t de ciment, dont une part destinée à l’exportation. En outre, la station de broyage de ciment Dai Viêt remonte également la pente après sa fusion-acquisition avec le groupe Ciment Bim Son.